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resume de l emission flash (canada) L’entrevue se fait sur un plan serré puis le plan se fait sur elle en entier Il y a des images du clip de Commando et du making of, en fond la chanson Commando et vers la fin St Germain. Elle a ses cheveux bruns avec des mèches blondes et portes un manteau très Vanessa’s touch ! Le présentateur commence par dire que la plupart des
gens pensaient que Vanessa n’était que la remplaçante de Kate Moss et que ça
ne durerait pas. Maintenant ils font mentir les mauvaises langues et ils
cosignent l’album, « la jolie française puisant son énergie chez le
rebelle américain ». Il lui demande ce que JD a concrètement apporté à
l’album, VP répond que Bliss ne se serait pas créé sans lui, elle a bcp écrit
avec la guitare parce qu’il lui en a offert une et il lui a appris à en jouer
mieux. Il lui a fait des découvrir de nouveaux sons, qu’elle n’écoutait
pas avant et il a apporté une influence musicale. Il lui disait qu’il était fier d’elle « pas
que j’étais la meilleure mais il savait dire les mots qu’il fallait au bon
moment », il avait bcp plus confiance en elle qu’elle n’en avait.
Pendant l’écriture des chansons parfois elle était incertaine et prête à
arrêter, elle se rabaissait et lui était là pour lui redonner la force, il
faisait les choses qu’il fallait. Le présentateur reprend sur des images du clip et
remarque que la participation de JD n’est pas une tempête de décibels, lui
qui est plus amoureux du rock alternatif. On reprend le plan sur Vanessa et le présentateur
lui dit que dans l’album il y a bcp de douceur, de sérénité « est-ce
vous ?, lui ? ou vous trois ? ». Elle répond « c’est
nous, nous trois on ne peut pas les séparer, avoir un enfant ça relativise
tout, ça balaie les superficiels, ça remet les choses à leur juste valeur. On
n’a pas besoin de s’énerver quand on a le sublime en face de soi, qui vous
aime et que vous aimez ». A la question « que ferez-vous si à 14
Lily-Rose veut devenir comme ses parents ? ». Vanessa dit « je
serais inquiète pour elle, c’est cruel comme métier. L’adolescence à la
base est cruelle en plus le choix de se montrer, si on lui lançait des flèches
en plein cœur, je réagirais comme maman, je serais au fond du sac comme on
dit. Mais je crois qu’on ne peut pas empêcher les enfants de faire ce
qu’ils veulent, ils feraient pire. Si elle veut je serais là pour elle ». |